Le groupe catholique a fait remarquer que la promotion et la création d’un environnement favorable à un travail décent s’avèrent cruciales pour venir à bout des inégalités actuelles et de l’injustice sociale croissante, tout en renforçant la dignité humaine et en contribuant au bien commun. La souffrance humaine causée par des structures injustes, qu’il s’agisse des formes de travail précaires et mal rémunérées, de la traite des êtres humains et du travail forcé, du chômage généralisé des jeunes, ou des migrations involontaires, demande une réponse urgente.

La JOCI a participé et contribué activement à ces conclusions à travers la présentation d’actions locales spécifiques menées par les mouvements nationaux du Paraguay (travailleuses domestiques/migrants internes), d’Allemagne (migrants) et d’Inde (travailleurs agricoles). Ces actions sont réalisées dans le cadre de notre campagne internationale 2012-2016 pour un travail juste et une vie digne.

Le séminaire de deux jours a renforcé la collaboration entre les organisations d’inspiration catholique, l’OIT, les partenaires sociaux et autres partenaires importants, grâce à la contribution de tous aux discussions sur l’agenda de l’après-2015. Quelques jours après la déclaration du groupe, le Pape François a fortement appuyé cette revendication dans sa lettre adressée aux chefs exécutifs des Nations Unies.

Poursuivons notre lutte en faveur d’un travail juste et d’une vie digne pour toutes et tous !

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