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Pour clôturer la Semaine Internationale de la Jeunesse Travailleuse, les jeunes travailleurs et travailleuses militant(e)s de la JOCI réalisent des actions contre la précarité et l'instabilité de l'emploi dans le monde, contre les inégalités existantes dans tous les domaines de la vie des jeunes travailleurs et jeunes travailleuses. Aujourd'hui, à l'occasion du premier mai, nous levons à nouveau l'étendard de la lutte ensemble avec le mouvement ouvrier et populaire et toutes les organisations qui agissent en faveur d'un monde nouveau sans différences entre les personnes.
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Comme chaque année, la JOCI a assisté à la 106e session de la Conférence internationale du Travail qui s’est tenue à Genève en juin 2017. Le texte ci-dessous est la déclaration conjointe JOCI-WSM sur les migrations de main d’œuvre, lue par Antonio Zela, militant jociste du Paraguay et coordinateur continental.
« Au nom de la Jeunesse ouvrière chrétienne internationale (JOCI) et de Solidarité Mondiale (WSM), je vous suis reconnaissant de me donner l’occasion de présenter une déclaration conjointe à cette Commission. Nous tenons également à remercier le Bureau pour le rapport préparé pour cette discussion générale.
Je vous propose de commencer par un témoignage d’un membre de la JOCI, qui illustre les difficultés rencontrées par les travailleurs migrants :
« Mon nom est George Verzosa et je viens du sud des Philippines. Comme je ne trouvais pas d’emploi, j’ai été obligé de chercher du boulot à l’étranger. J'ai trouvé une agence qui m’a trouvé un travail en Arabie Saoudite, mais j’ai dû payer beaucoup de frais. J'ai lu le contrat et il m’a semblé correct, donc je l'ai signé. Quand je suis arrivé là, j’ai commencé à travailler dans un restaurant. Mais le contrat n’a pas été respecté. Ils ne m’octroyaient pas comme promis le salaire de base, ne me payaient pas les heures supplémentaires, je n’avais pas de jours de congés et les journées de travail étaient excessivement longues.
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25 novembre - 10 décembre
À l’occasion de la célébration de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes le 25 novembre, la Jeunesse Ouvrière Chrétienne Internationale (JOCI) encourage tous les mouvements nationaux de la JOC à travers le monde à mener et à participer à toute action visant à mettre un terme à la violence faite aux femmes.
L’action commence chaque année le 25 novembre pour se terminer le 10 décembre, Journée internationale des droits humains.
Au cours de ces 16 journées d’action contre la violence fondée sur le genre, la JOCI encourage tous les mouvements nationaux aux quatre coins du monde à appeler à l’élimination de toutes les formes de violence faite aux femmes.
La KAJ lance une action symbolique devant le Palais de Justice
La KAJ (JOC flamande) a lancé une action symbolique devant le Palais de Justice de Bruxelles le 22 novembre dernier. Une centaine de jocistes étaient présents pour parler de la situation des jeunes qui vivent entre deux parents divorcés.
Les statistiques montrent que la Belgique s’est hissée dans le trio de tête des pays de l’Union européenne qui enregistrent le taux le plus élevé de divorces, et en région flamande, 1 mariage sur 3 se termine par un divorce. Rien que pour l’année 2013, 35 000 enfants et jeunes ont été confrontés à la séparation de leurs parents. Il faut par ailleurs noter que l’on ignore le nombre d’enfants dont les parents non mariés ont mis fin à leur contrat de vie commune.
Au cours du débat public, la KAJ a identifié les conséquences d’un divorce sur les jeunes. Son approche ne repose pas sur des statistiques mais sur le vécu des jeunes travailleurs, leurs expériences pratiques, l’analyse du mouvement et une série de propositions d’amélioration.
Cette action a eu un impact positif, attirant l’attention de la presse écrite et parlée qui a couvert l’événement. De plus, la campagne du mouvement bénéficie du soutien de l’Institut supérieur des sciences de la famille (Hoger Instituut voor Gezinswetenschappen – Odisee) et du Commissariat belge aux droits de l’enfant. Il s’agit, aux yeux du public et des responsables politiques, d’institutions respectées.
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Le groupe des 10 organisations internationales catholiques, pour la plupart des mouvements qui s’inspirent du Cardinal Cardijn, s’est réuni le 14 février 2015 au Secrétariat international de la JOCI à Bruxelles pour renforcer le réseau qu’elles forment.
Ont participé à la rencontre le Mouvement international des intellectuels catholiques (MIIC-Pax Romana), la Fédération internationale des mouvements d’adultes ruraux catholiques (FIMARC), le Mouvement international de la jeunesse agricole et rurale catholique (MIJARC), la Coordination internationale des Jeunesses Ouvrières Chrétiennes (CIJOC), le Mouvement international d’apostolat des enfants (MIDADE) et le Mouvement international des milieux sociaux indépendants (MIAMSI).
D’autres mouvements, notamment le Mouvement international des étudiants catholiques (MIEC), le Mouvement mondial des travailleurs chrétiens (MMTC) et la Jeunesse étudiante catholique internationale (JECI), n’ont pu être présents mais sont, eux aussi, engagés dans le groupe.
Les participants ont discuté de la richesse de l’histoire des mouvements catholiques et de l’impact qu’ils exercent sur la société et l’Église. Ils ont par ailleurs identifié certains points sur lesquels ils peuvent travailler ensemble pour mieux avancer, notamment l’agenda post-2015 et le Synode sur la famille.
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Ne jamais laisser tomber les travailleurs »
Par Guilherme Junior
Percevoir les similitudes et les potentialités dans la lutte pour un travail digne était l’un des objectifs de l’échange organisé le 24 juin 2014 entre la JOC du Brésil et le syndicat belge CSC Alimentation & Services. L’action a vu la participation de six membres du syndicat belge présents au Brésil pour la Coupe du monde de football de la FIFA, ainsi que de quatre jeunes travailleurs de São Paulo et deux autres jeunes travailleurs d’autres régions. Le groupe a également eu l’occasion de visiter l’un des projets réalisés actuellement par des jeunes associés à la JOC, la Radio des Jeunes, basé à São Vicente, une ville située à 70 km de São Paulo.
Au matin, les visiteurs ont été accueillis au secrétariat national de la JOC du Brésil avec une dynamique de groupe qui a mis l’accent sur l’union que chacun doit construire même si les personnes sont physiquement éloignées. Ensuite, la JOC du Brésil a brièvement présenté sa vision de la formation des jeunes travailleurs à travers l’action, en partant de leur propre réalité. Outre une projection de diapositives donnant un panorama des actions du mouvement, une séance Skype a été organisée avec Fernanda Mara, de Fortaleza, qui a apporté son témoignage de jeune travailleuse. Selon Fernanda, la JOC l’a aidée à cerner son identité de jeune travailleuse et à se revendiquer jeune travailleuse. Avec le soutien de la JOC, elle a pu prendre conscience qu’elle partage la même réalité que d’autres jeunes et que la seule manière possible de changer cette réalité d’exclusion et d’oppression est la mobilisation, l’union et l’organisation des jeunes travailleurs.
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Les objectifs 4, 5 et 8 sont des points centraux pour la JOCI
Au fil de ses sessions, les 30 membres du Groupe de travail ouvert de l’Assemblée générale de l’ONU ont élaboré des Objectifs de développement durable qui sont assortis de cibles et seront encore affinés au moyen d’indicateurs axés sur des résultats mesurables. Ils sont axés sur l’action, par essence globaux et valables universellement. Ils tiennent compte des réalités, capacités et niveaux de développement des différents pays et respectent leurs priorités et politiques nationales.
Ils font fond sur les bases jetées par les objectifs du Millénaire, pour terminer ce qui doit l’être et relever les nouveaux défis. Ils constituent un ensemble intégré, indivisible de priorités mondiales en vue du développement durable.
Si des cibles idéales sont définies à l’échelle mondiale, c’est à chaque gouvernement qu’il revient de fixer ses propres cibles nationales pour répondre aux ambitions mondiales tout en tenant compte des spécificités nationales. Ces objectifs et cibles intègrent les dimensions économiques, sociales et environnementales, en reconnaissant leur interdépendance pour atteindre le développement durable sous tous ses aspects.
Pour la JOCI, au moins 3 objectifs sont directement liés à sa campagne internationale, à savoir les objectifs 4, 5 et 8 décrits ci-après.
- Le monde du travail en Asie-Pacifique
- JOC d’Ukraine : La révolution est loin d’être terminée !
- La JOC des Philippines défile le Premier Mai pour passer « du chômage à un emploi décent »
- PANAF : Participation au développement de la coopération régionale sud-sud
- Les étudiants et travailleurs d’Asie-Pacifique réclament la justice et la paix maintenant!
- La JOC célèbre le Premier Mai 2014 à travers le monde
- « Pas de travailleur sans droits; pas de paysan sans terre; pas de famille sans toit »
- JOC Haïti: La mine de sel à Jean Rabel, une expérience d’action collective
- L’élimination de la violence à l’égard des femmes : Une priorité pour la JOCI
- Les défis de la révolution numérique - La JOCI à la Conférence internationale des ONG 2016
- Journée internationale des travailleurs et travailleuses domestiques : Témoignage du Pakistan
- La JOC Haïti nous décrit une pratique solidaire
- La JOC d’Amérique centrale en rapide évolution
- Migration équitable : Discours de la JOCI à la Conférence internationale du Travail 2014
- Travailleurs migrants : La voix d’un travailleur philippin expatrié
- Rallye vélo de la JOC d’Inde
- Message de l'Asie/Pacifique: "Les jeunes travailleurs réclament un revenu décent"
- 103e Conférence internationale du Travail: Déclarations conjointes de la JOCI et de WSM revendiquant un travail digne
- La JOC de Liège contre les brutalités policières
- La JOCI à Rome pour participer activement à un séminaire international sur le travail décent